Proposition d’une installation participative sur la digue de la corniche Boujaafar, à Sousse en Tunisie.

L’installation reprend l’atmosphère d’un site de vacances touristiques ; du gazon synthétique, au transat de plage en passant par l’incontournable écriture de carte postale.

Les 180 cartes postales présentées, comme autant de pays corrompus, détournent ici les visuels habituellement fantasmagoriques des cartes de vacances, pour proposer des images en rapport directe avec la réalité politique et sociale du pays concerné. Le chiffre situé en bas à gauche de chaque carte correspond à leur indice de corruption.

Les passants sont invités à venir écrire leurs propres mots sur l'idée qu'ils s'en font de celle-ci, en échange d’un collier de fleurs artificielles.