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Les vêpres algériennes

Compagnie Sociétés Accidentelles

En collaboration avec la dramaturge et bédéiste Nawel Louerrad

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Le thème de la création sur laquelle nous travaillons s’inspire de la bande dessinée éponyme de Nawel Louerrad, publiée aux éditions Dalimen, à Alger, en 2012.

Il y est question d’un rapport traumatique à l’Histoire et à la mémoire, la guerre d’indépendance et la tragédie des années 90 y sont figurées en entités désincarnées, agglutinées au présent.

Nous partons de ces guerres-ci pour tenter d’approcher ce qu'elles engendrent à échelle universelle, celle de l’individu et celle du monde, rappelant l'idée du motif fractal qui s'engendre à l'infini en lui-même.

Dans cette élasticité du trouble, cette violence indifférenciée où bourreau et victime peuvent s’échanger les rôles, nous nous penchons plus précisément sur la blessure de guerre, la blessure trans-générationnelle, et en cela, à ce qui échappe à toute formulation.

Toujours dans une idée de recherche, nous tenterons de tisser et de partager un langage problématique du corps, aliéné par sa mémoire.

Géraldine Mercier_artiste_Dessin_Théâtre_Sociétés Accidentelles
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Géraldine Mercier_artiste_Dessin_Théâtre_Sociétés Accidentelles
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On ne doit pas...

"Jeunes chorégraphes - jeunes scénographes"

En collaboration avec le chorégraphe Jeroen Verbruggen

Aux ateliers des Ballets de Monte-Carlo

 

 

 

C’est un peu comme la petite boîte pleine de poupées.

Toute petite, celle que l’on glisse sous l’oreiller avant de s’endormir. Et au réveil tout va mieux...

C’est ainsi que l’on a tissé l’histoire, le rêve et les maux.

Puis il a fallut les danser. Les matérialiser. Parfois même les chanter en yahourt.

L’important étant de s’en jouer à en perdre toute cohérence.

C’est l’absurde quotidien. La névrose du poisson lune. Un millésime étron. Nos chats sont verts et leurs collants sont bien trop justes.

Et toute cette folie qui tient dans une si petite boîte...

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